un mouvement des hausse des prix s’observe du jour le jour au centre de la deuxième ville commerciale du pays.
D’après plusieurs vendeurs et vendeuses contacter, cette situation a vu jour depuis le commencement de la période poste électoral et d’après madame Katia vendeuse au marché Commun appelé ndianja, cette hausse de prix se justifie également par la montée en puissance du taux de dollars.
En voici donc à titre illustratif la valeur soit le prix des quelques danrées alimentaires ici à Lubumbashi: Un sac de farine revient à 50 000 francs,
Une bouteille d’huile de palme coûte 8000 francs, Une bote d’amarentes reviens à 1500 voir même 2000 francs,
Un verre de sel est fixé à 500 francs.
À noter que cette situation a été enregistré l’an passé suite aux sécheresses observées durant 8 mois dans cette ville.
Moïse BOANERGE,
Depuis Lubumbashi